[Revisto por Márcia Marto]
J’ai connu des moments de joie
Mais jamais la joie, un état constant et perpétuel
Je ne l’ai jamais connue et je ne la connaîtrai jamais
Il est impossible, assez idiot, de croire à la joie
Le vrai bonheur se cache de moi
Sa face parfaite et lumineuse est celle d’une personne inconnue
Qui, si jamais je l’ai vue, ne m’a rien dit
Et donc, je l’ai ignorée et oubliée.